La Société Maritime de Pêche

Le 1-1-1971, alors que le déclin de la pêche industrielle rochelaise est déjà fortement marqué[1], est créée la Société Maritime de Pêche (S.M.P.). Il s’agit d’une S.A.R.L. dont les associés sont M. Maurice Génaudeau[2] (1925-2005), qui en devient  le gérant, et. M. Michel Morlier, directeur[3]. Cet armement gère alors 3 chalutiers de l’Armement Sauvet, qui appartient au beau-père de M. Genaudeau : le Fram, le Hellé et le Rupella. La société prend, après, la gérance d’autres chalutiers, pour plusieurs d’entre eux propriété de sociétés quirataires[4] : le Ravignan, le Térésa, le Calisto, le Saint-Sauveur ou encore la Petite Karine[5]. Des patrons armateurs s’associent avec eux, avec les chalutiers l’Aloha et le Brin de Muguet.

 

           Chalutier le Fram, Armement S.M.P., photo Alex Henry, photothèque Musée Maritime La Rochelle

 

         Chalutier le Ravignan, Armement S.M.P., photo Alex Henry, photothèque Musée Maritime La Rochelle

 

 

En 1972, le palmarès publié en 1973[6] donne le classement de  5 chalutiers de la S.M.P. parmi les 42 J 3 rochelais, en fonction de la quantité de poissons débarqués à La Rochelle et de leur chiffre d’affaire[7] :

    *15ème : « Hellé : Armement Sauvet, 22 marées, 298 000 kilos, 1 359030 francs ».

    *21Ième : « Rupella : Armement Sauvet, 24 marées, 244 200 kilos, 1 297 530 francs ».

    *26ème : « Ravignan : Société Maritime de Pêche, 21 marées, 245 900 kilos, 1 161 100 frs ».

    *32ème  « Fram, Armement Sauvet, 22 marées, 238 340 kilos, 877 390 francs ».

    *38ème : « Petite Karine, Armement Le Jolif et Consorts, 18 marées, 209 370 kilos,  

      718 870 francs ».

 


     Le chalutier Rupella de la S.M.P., Bassin des chalutiers de La Rochelle, Musée Maritime La Rochelle

 

     La S.M.P. diversifie son activité et devient représentante des Etablissements Devos (à Dunkerque ?), fabriquant et distributeur de filets et matériel de pêche. Elle relance aussi une conserverie à l’Eguille-sur-Seudre, en Charente-Maritime, qui produit des soupes de poissons, des pâtés d’huitre et de moule.

Le choc pétrolier de 1974 alourdit les frais de gaz-oil. Les bilans prévisionnels réalisés par M. Morlier font alors ressortir qu’ « aucun bateau ne serait plus rentable à terme » dit-il. En accord avec M. Genaudeau, M. Morlier décide alors de « liquider cette affaire » et de se retirer en mars 1975.En 1979, seule la société quirataire Ravignan est encore recensée. Mais le chalutier est déclaré désarmé.

 

Henri MOULINIER, Doctorant en histoire

 avec  la complicité active de M. Michel MORLIER, ancien directeur de la S.M.P

 et de Véronique VILLEDEY, documentaliste du Musée Maritime de La Rochelle

 

 

 

 


[1] En 1966, à l’apogée de la flotte industrielle  locale, La Rochelle compte 74 grands chalutiers. Ils sont 65 en 1967, 43 en 1970  , Sud-Ouest , 6-21973, p. 10.

[2] Maurice Genaudeau est né à la Mothe Achard (Vendée) en 1925. Il est le gendre de M Sauvet (  lui-même administrateur du Crédit maritime et armateur aux Sables d'Olonne). Avant 1971, il gère les bateaux de l'armement Sauvet ; il est le dépositaire du matériel de pêche Devos. Son magasin est situé près de la Tour de la  Chaîne sur le parking St Jean d'Acre à La Rochelle (Note de M. Morlier).

[3] Ces informations doivent beaucoup à  M. Michel Morlier, alors directeur de cette société (rencontres en janvier 2013).

[4] De l’arabe qirât, sorte de petit poids, un quirat est, en droit maritime, une part d’un navire indivis. Lorsqu’un  francs.navire n’appartient pas à une seule personne, mais à plusieurs, on le suppose décomposé en un certain nombre de parts égales appelées quirats, et les divers copropriétaires le sont pour un quirat, ou pour deux, ou plus (Note personnelle)

[5] Propriété d’une société quirataire familiale : l’armement Le Jolif et Consorts, Sud-Ouest, 6-2-1973, p. 10, A.D.C.M., Jx 262.

[6] Sud-Ouest, 6 février 1973, art. cit.

[7] Au total, cette année là « 654 bateaux, J 3 – c'est-à-dire des bateaux d’une puissance de 350 à 1 200 chevaux - et des chalutiers de moindre importance ont vendu à la halle à marée (…) », Sud-Ouest, art . cit.

 

Le 1-1-1971, alors que le déclin de la pêche industrielle rochelaise est déjà fortement marqué[1], est créée la Société Maritime de Pêche (S.M.P.). Il s’agit d’une S.A.R.L. dont les associés sont M. Maurice Génaudeau[2] (1925-2005), qui en devient  le gérant, et. M. Michel Morlier, directeur[3]. Cet armement gère alors 3 chalutiers de l’Armement Sauvet, qui appartient au beau-père de M. Genaudeau : le Fram, le Hellé et le Rupella. La société prend, après, la gérance d’autres chalutiers, pour plusieurs d’entre eux propriété de sociétés quirataires[4] : le Ravignan, le Térésa, le Calisto, le Saint-Sauveur ou encore la Petite Karine[5]. Des patrons armateurs s’associent avec eux, avec les chalutiers l’Aloha et le Brin de Muguet.

           Chalutier le Fram, Armement S.M.P., photo Alex Henry, photothèque Musée Maritime de La Rochelle

 

         Chalutier le Ravignan, Armement S.M.P., photo Alex Henry, photothèque Musée Maritime de La Rochelle

En 1972, le palmarès publié en 1973[6] donne le classement de  5 chalutiers de la S.M.P. parmi les 42 J 3 rochelais, en fonction de la quantité de poissons débarqués à La Rochelle et de leur chiffre d’affaire[7] :

    *15ème : « Hellé : Armement Sauvet, 22 marées, 298 000 kilos, 1 359030 francs ».

    *21Ième : « Rupella : Armement Sauvet, 24 marées, 244 200 kilos, 1 297 530 francs ».

    *26ème : « Ravignan : Société Maritime de Pêche, 21 marées, 245 900 kilos, 1 161 100 frs ».

    *32ème  « Fram, Armement Sauvet, 22 marées, 238 340 kilos, 877 390 francs ».

    *38ème : « Petite Karine, Armement Le Jolif et Consorts, 18 marées, 209 370 kilos,  

      718 870 francs ».

     

     Le chalutier Rupella de la S.M.P., Bassin des chalutiers de La Rochelle, Musée Maritime de La Rochelle

La S.M.P. diversifie son activité et devient représentante des Etablissements Devos (à Dunkerque ?), fabriquant et distributeur de filets et matériel de pêche. Elle relance aussi une conserverie à l’Eguille-sur-Seudre, en Charente-Maritime, qui produit des soupes de poissons, des pâtés d’huitre et de moule.

Le choc pétrolier de 1974 alourdit les frais de gaz-oil. Les bilans prévisionnels réalisés par M. Morlier font alors ressortir qu’ « aucun bateau ne serait plus rentable à terme » dit-il. En accord avec M. Genaudeau, M. Morlier décide alors de « liquider cette affaire » et de se retirer en mars 1975.En 1979, seule la société quirataire Ravignan est encore recensée. Mais le chalutier est déclaré désarmé :

                   

                Source : Annuaire de l’armement à la pêche, 1979[8]

 

             

         Le chalutier Ravignan de la S.M.P., Bassin des chalutiers de La Rochelle, Musée Maritime de La Rochelle

 

Henri MOULINIER, Doctorant en histoire

 avec  la complicité active de M. Michel MORLIER, ancien directeur de la S.M.P

 et de Véronique VILLEDEY, documentaliste du Musée Maritime de La Rochelle



[1] En 1966, à l’apogée de la flotte industrielle  locale, La Rochelle compte 74 grands chalutiers. Ils sont 65 en 1967, 43 en 1970  , Sud-Ouest , 6-21973, p. 10.

[2] Maurice Genaudeau est né à la Mothe Achard (Vendée) en 1925. Il est le gendre de M Sauvet (  lui-même administrateur du Crédit maritime et armateur aux Sables d'Olonne). Avant 1971, il gère les bateaux de l'armement Sauvet ; il est le dépositaire du matériel de pêche Devos. Son magasin est situé près de la Tour de la  Chaîne sur le parking St Jean d'Acre à La Rochelle (Note de M. Morlier).

[3] Ces informations doivent beaucoup à  M. Michel Morlier, alors directeur de cette société (rencontres en janvier 2013).

[4] De l’arabe qirât, sorte de petit poids, un quirat est, en droit maritime, une part d’un navire indivis. Lorsqu’un  francs.navire n’appartient pas à une seule personne, mais à plusieurs, on le suppose décomposé en un certain nombre de parts égales appelées quirats, et les divers copropriétaires le sont pour un quirat, ou pour deux, ou plus (Note personnelle)

[5] Propriété d’une société quirataire familiale : l’armement Le Jolif et Consorts, Sud-Ouest, 6-2-1973, p. 10, A.D.C.M., Jx 262.

[6] Sud-Ouest, 6 février 1973, art. cit.

[7] Au total, cette année là « 654 bateaux, J 3 – c'est-à-dire des bateaux d’une puissance de 350 à 1 200 chevaux - et des chalutiers de moindre im

Le 1-1-1971, alors que le déclin de la pêche industrielle rochelaise est déjà fortement marqué[1], est créée la Société Maritime de Pêche (S.M.P.). Il s’agit d’une S.A.R.L. dont les associés sont M. Maurice Génaudeau[2] (1925-2005), qui en devient  le gérant, et. M. Michel Morlier, directeur[3]. Cet armement gère alors 3 chalutiers de l’Armement Sauvet, qui appartient au beau-père de M. Genaudeau : le Fram, le Hellé et le Rupella. La société prend, après, la gérance d’autres chalutiers, pour plusieurs d’entre eux propriété de sociétés quirataires[4] : le Ravignan, le Térésa, le Calisto, le Saint-Sauveur ou encore la Petite Karine[5]. Des patrons armateurs s’associent avec eux, avec les chalutiers l’Aloha et le Brin de Muguet.

 

           Chalutier le Fram, Armement S.M.P., photo Alex Henry, photothèque Musée Maritime de La Rochelle

 

 

         Chalutier le Ravignan, Armement S.M.P., photo Alex Henry, photothèque Musée Maritime de La Rochelle

En 1972, le palmarès publié en 1973[6] donne le classement de  5 chalutiers de la S.M.P. parmi les 42 J 3 rochelais, en fonction de la quantité de poissons débarqués à La Rochelle et de leur chiffre d’affaire[7] :

    *15ème : « Hellé : Armement Sauvet, 22 marées, 298 000 kilos, 1 359030 francs ».

    *21Ième : « Rupella : Armement Sauvet, 24 marées, 244 200 kilos, 1 297 530 francs ».

    *26ème : « Ravignan : Société Maritime de Pêche, 21 marées, 245 900 kilos, 1 161 100 frs ».

    *32ème  « Fram, Armement Sauvet, 22 marées, 238 340 kilos, 877 390 francs ».

    *38ème : « Petite Karine, Armement Le Jolif et Consorts, 18 marées, 209 370 kilos,  

      718 870 francs ».

 

     Le chalutier Rupella de la S.M.P., Bassin des chalutiers de La Rochelle, Musée Maritime de La Rochelle

La S.M.P. diversifie son activité et devient représentante des Etablissements Devos (à Dunkerque ?), fabriquant et distributeur de filets et matériel de pêche. Elle relance aussi une conserverie à l’Eguille-sur-Seudre, en Charente-Maritime, qui produit des soupes de poissons, des pâtés d’huitre et de moule.

Le choc pétrolier de 1974 alourdit les frais de gaz-oil. Les bilans prévisionnels réalisés par M. Morlier font alors ressortir qu’ « aucun bateau ne serait plus rentable à terme » dit-il. En accord avec M. Genaudeau, M. Morlier décide alors de « liquider cette affaire » et de se retirer en mars 1975.En 1979, seule la société quirataire Ravignan est encore recensée. Mais le chalutier est déclaré désarmé :

 

                Source : Annuaire de l’armement à la pêche, 1979[8]

 

 

         Le chalutier Ravignan de la S.M.P., Bassin des chalutiers de La Rochelle, Musée Maritime de La Rochelle

 

Henri MOULINIER, Doctorant en histoire

 avec  la complicité active de M. Michel MORLIER, ancien directeur de la S.M.P

 et de Véronique VILLEDEY, documentaliste du Musée Maritime de La Rochelle



[1] En 1966, à l’apogée de la flotte industrielle  locale, La Rochelle compte 74 grands chalutiers. Ils sont 65 en 1967, 43 en 1970  , Sud-Ouest , 6-21973, p. 10.

[2] Maurice Genaudeau est né à la Mothe Achard (Vendée) en 1925. Il est le gendre de M Sauvet (  lui-même administrateur du Crédit maritime et armateur aux Sables d'Olonne). Avant 1971, il gère les bateaux de l'armement Sauvet ; il est le dépositaire du matériel de pêche Devos. Son magasin est situé près de la Tour de la  Chaîne sur le parking St Jean d'Acre à La Rochelle (Note de M. Morlier).

[3] Ces informations doivent beaucoup à  M. Michel Morlier, alors directeur de cette société (rencontres en janvier 2013).

[4] De l’arabe qirât, sorte de petit poids, un quirat est, en droit maritime, une part d’un navire indivis. Lorsqu’un  francs.navire n’appartient pas à une seule personne, mais à plusieurs, on le suppose décomposé en un certain nombre de parts égales appelées quirats, et les divers copropriétaires le sont pour un quirat, ou pour deux, ou plus (Note personnelle)

[5] Propriété d’une société quirataire familiale : l’armement Le Jolif et Consorts, Sud-Ouest, 6-2-1973, p. 10, A.D.C.M., Jx 262.

[6] Sud-Ouest, 6 février 1973, art. cit.

[7] Au total, cette année là « 654 bateaux, J 3 – c'est-à-dire des bateaux d’une puissance de 350 à 1 200 chevaux - et des chalutiers de moindre importance ont vendu à la halle à marée (…) », Sud-Ouest, art . cit.

 

[8] Annuaire de l’armement à la pêche 1979,  Paris, Editions maritimes, p. 373.

portance 

La Société Maritime de Pèche  

Le 1-1-1971, alors que le déclin de la pêche industrielle rochelaise est déjà fortement marqué[1], est créée la Société Maritime de Pêche (S.M.P.). Il s’agit d’une S.A.R.L. dont les associés sont M. Maurice Génaudeau[2] (1925-2005), qui en devient  le gérant, et. M. Michel Morlier, directeur[3]. Cet armement gère alors 3 chalutiers de l’Armement Sauvet, qui appartient au beau-père de M. Genaudeau : le Fram, le Hellé et le Rupella. La société prend, après, la gérance d’autres chalutiers, pour plusieurs d’entre eux propriété de sociétés quirataires[4] : le Ravignan, le Térésa, le Calisto, le Saint-Sauveur ou encore la Petite Karine[5]. Des patrons armateurs s’associent avec eux, avec les chalutiers l’Aloha et le Brin de Muguet.

En 1972, le palmarès publié en 1973[6] donne le classement de  5 chalutiers de la S.M.P. parmi les 42 J 3 rochelais, en fonction de la quantité de poissons débarqués à La Rochelle et de leur chiffre d’affaire[7] :

    *15ème : « Hellé : Armement Sauvet, 22 marées, 298 000 kilos, 1 359030 francs ».

    *21Ième : « Rupella : Armement Sauvet, 24 marées, 244 200 kilos, 1 297 530 francs ».

    *26ème : « Ravignan : Société Maritime de Pêche, 21 marées, 245 900 kilos, 1 161 100 frs ».

    *32ème  « Fram, Armement Sauvet, 22 marées, 238 340 kilos, 877 390 francs ».

    *38ème : « Petite Karine, Armement Le Jolif et Consorts, 18 marées, 209 370 kilos,  

      718 870 francs ».

     La S.M.P. diversifie son activité et devient représentante des Etablissements Devos (à Dunkerque ?), fabriquant et distributeur de filets et matériel de pêche. Elle relance aussi une conserverie à l’Eguille-sur-Seudre, en Charente-Maritime, qui produit des soupes de poissons, des pâtés d’huitre et de moule.

Le choc pétrolier de 1974 alourdit les frais de gaz-oil. Les bilans prévisionnels réalisés par M. Morlier font alors ressortir qu’ « aucun bateau ne serait plus rentable à terme » dit-il. En accord avec M. Genaudeau, M. Morlier décide alors de « liquider cette affaire » et de se retirer en mars 1975.En 1979, seule la société quirataire Ravignan est encore recensée. Mais le chalutier est déclaré désarmé.

 

Henri MOULINIER, Doctorant en histoire

 avec  la complicité active de M. Michel MORLIER, ancien directeur de la S.M.P

 et de Véronique VILLEDEY, documentaliste du Musée Maritime de La Rochelle

 

 

 



[1] En 1966, à l’apogée de la flotte industrielle  locale, La Rochelle compte 74 grands chalutiers. Ils sont 65 en 1967, 43 en 1970  , Sud-Ouest , 6-21973, p. 10.

[2] Maurice Genaudeau est né à la Mothe Achard (Vendée) en 1925. Il est le gendre de M Sauvet (  lui-même administrateur du Crédit maritime et armateur aux Sables d'Olonne). Avant 1971, il gère les bateaux de l'armement Sauvet ; il est le dépositaire du matériel de pêche Devos. Son magasin est situé près de la Tour de la  Chaîne sur le parking St Jean d'Acre à La Rochelle (Note de M. Morlier).

[3] Ces informations doivent beaucoup à  M. Michel Morlier, alors directeur de cette société (rencontres en janvier 2013).

[4] De l’arabe qirât, sorte de petit poids, un quirat est, en droit maritime, une part d’un navire indivis. Lorsqu’un  francs.navire n’appartient pas à une seule personne, mais à plusieurs, on le suppose décomposé en un certain nombre de parts égales appelées quirats, et les divers copropriétaires le sont pour un quirat, ou pour deux, ou plus (Note personnelle)

[5] Propriété d’une société quirataire familiale : l’armement Le Jolif et Consorts, Sud-Ouest, 6-2-1973, p. 10, A.D.C.M., Jx 262.

[6] Sud-Ouest, 6 février 1973, art. cit.

[7] Au total, cette année là « 654 bateaux, J 3 – c'est-à-dire des bateaux d’une puissance de 350 à 1 200 chevaux - et des chalutiers de moindre importance ont vendu à la halle à marée (…) », Sud-Ouest, art . cit.

 

ont vendu à la halle à marée (…) », Sud-Ouest, art . cit.

 

[8] Annuaire de l’armement à la pêche 1979,  Paris, Editions maritimes, p. 373.

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